Roméo et Juliette en Alabama…
« T’as rien pigé, Shakespeare. Je vais te dire ce qui va se passer, moi : je vais te baiser, oui, mais je vais te faire l’amour, aussi. Je vais prendre ton esprit, ton âme, ton corps, et jamais je ne te laisserai filer. Tu vas crier mon nom jusqu’à ce qu’il soit incrusté sur tes cordes vocales. Avec toi, ce ne sera pas de la baise pour la forme, mais pour le salut de mon âme ! »
Molly, brillante étudiante d’Oxford, n’a plus grand-chose à espérer de sa vie en Angleterre quand elle s’envole pour l’Alabama. Le dépaysement est total, et elle a tout à apprendre de cette nouvelle vie qui s’offre à elle. Tout est si différent ici – plus lumineux, plus vivant. L’étudiante découvre la passion des Américains pour le football et succombe au charme de Roméo, quaterback au corps d’Apollon, mascotte de l’université. Cette rencontre inattendue entre deux êtres que tout oppose va changer sa vie à jamais. Mais ces Roméo et Juliette de temps modernes parviendront-ils à surmonter les obstacles qui se dressent entre eux ?
« Une romance maîtrisée dans la lignée de Beautiful Disaster. » Romance Readers
« Sweet Home est un mélange parfait de douceur, de peine et d’amour fou ! » Broc’s Bookcase
« Ce livre a ravi mon cœur. Je me suis reconnue dans cette histoire. » Up All Night
« Une montagne russe d’émotions. » Literary Cravings
Les personnages s’amusent des parallèles entre leurs noms et ceux des plus grands amants maudits de la littérature, mais Tillie Cole pousse la référence au paroxysme, écrivant pour eux un amour maudit qui, on vous rassure, finira bien cette fois-ci. Une initiation romantique et charnelle à l’université entre deux êtres que tout oppose – le sportif populaire et l’intello timide – confrontés à la violence des oppositions dressées face à leur amour inconditionnel.
Extrait :
« C’est le destin qui nous a réunis… On est les amants maudits, comme Roméo et Juliette, mais contrairement à eux, on a toute la vie pour se découvrir. Je te promets que je ferai tout pour qu’on vive heureux jusqu’à la fin des temps… »